Autre fois sur des terres lointaines reposait une rare entente entre chaque peuple. Chaque peuple avait sa place, et chacun avait un territoire suffisant afin qu’aucune xénophobie ne puisse paraître. Mais les sentiment et la bêtise humaine s’emparai de tout les races la jalousie la volonté de s’étendre et d’anéantir l’autre ne pouvais épargner ces êtres. Peu à peu des tensions entre chaque race naissait.
J’avais trois ans si mes souvenirs ne me trahissent pas. Mon père prenait l’eau de l’arbre sacré dans le creux de sa main, la levée a hauteur de mon coup puis laisser l’eau tomber sur mon torse. La brutalité protectrice de mon père se mêlait à sa tendresse paternelle. Ce rare plaisir que m’offrait mon père fut interrompus quand je senti une douleur a mon oreille, une flèche m’avait effleuré. Je me mis à hurler avant de relever la tête. Mon père avait déjà pris son arme et commencé son incantation, une flèche dans le bras. L’eau autour de lui tourbillonnai un projectile d’une extrême puissance sortit des tourbillons. La cible de mon père ne se relèvera pas, il ordonnât a ma mère de me surveillait, hurla a tous les homme capable de se battre de venir défendre la ville, l’ennemie attaquait. Je ne revis jamais mon père.Le lendemain, j’avais entendue dire que l’attaque avait était repousser cependant les hommes restait mobilisé. La nuit tombait j’eu du mal a m’endormir je voyais encore le bras de mon père en sang. Les heures mourait et j’étais toujours réveillé mais la fatigue finit par vaincre mon stresse. J’entendit du bruit dans la cuisine mais j’étais incapable de me levait. La porte s’ouvrit je vis alors derrière la porte ouvert à moitié les yeux remplit de terreurs de ma mère. Mon frère se levât tout de suite mais ma mère fut obligée de me porter. A en juger le sang sur sa robe, elle sortait d’un rude combat. On prit la fuite mais c’était sans compter sur les orcs qui ne voulait pas nous épargner. Ma mère essaya de les semer, mon frère s’arrêta se retourna pour se battre. J’ignorais combien d’orcs il aller affronter mais les mots que mère m’avait murmurer me serrant contre sa poitrine ensanglanté m’avait rassuré : « Il est assez fort. ». On arriva à l’endroit ou ma mère accourait depuis une heure. Elle me confia a un homme vêtu d’une capuche seul une longue barbe dépasser. Les derniers mots de ma mère ont étais pour se vieillard « Apprenais lui se qu’il doit apprendre ».
Alors que je supportais a peine le poids de mon épée, cette homme m’enseigner la sagesse et il ne cesser de me répéter « Tes pouvoirs t’on étais donner par une âme pure tache de choisir la même vois qu’elle ! ». De qu’elle pouvoirs parlait il, pourquoi moi je n’en savait rien. J’avais dix ans quand il m’abandonna sur un bateau en me disant « Ils t’attendent au port c’est eux qui t’enseigneront le reste. » et il ajouta « Moi jmfais vieu jcroi bin le temp est vnus ». Alors que ses dernières paroles me faisaient comprendre que c’était la dernière fois que je le voyais, il rigolait de mes larmes. Pendant que le bateau s’éloignait je lisais sur ces lèvres « bon courage ! », le vent dans les voiles et l’eau sur la coque m’empêchait de l’entendre.
Je fus restait un mois sur le bateau avant de voir les premiers mètres de terre apparaître. Je pris mon épée que j’avais pour seul bagage et je descendue du bateau curieux de savoir qui m’attendait. Tous les passagers étaient déjà partis, grand père m’aurait il menti ? J’attendis une heure de plus avant d’apercevoir un couple d’elfes. « Désolé du retard un groupe de bandits nous a attaqué »M’affirma l’homme. Il sortis un torchons enleva les dernière traces de sang sur sa main et me la tendis « Bonjour Orophin, moi c’est Scar ! ». La femme se contenta de déposer un baiser sur mon front.
Les cinq ans qui suivaient étaient consacrés à mon entraînement. « A faire surgir ton pouvoir » me répéta Scar, c’étais sûrement de se pouvoir dont parler grand père. Je compris alors que je devais utiliser se pouvoir a des fins que je jugeait bonne.A force d’acharnement je réussit mon premier sort c’étais celui que mon père avait exécuté lors de l’attaque du village. A peine avais-je réussit ce sort que Scar me dit « prépares t’es affaire tu es enfin prêt, dés demain je ne veux plus te voir dans cette maison tu es maintenant capable de perfectionner tes attaques seul ! Dort bien profite de ta dernière nuit dans un lit ! ».Le lendemain j’étais dehors seul au milieu des terres d’Aden…
J’avais qu’une envie, revoir ma famille, mère, père et frère je pensait a eux sans oublier mon entraînement. J’avais entendue dire qu’un homme nommait Hartigan dirigeait une équipe de pirate dont le but étais de rassembler les fonds nécessaire a la construction d’un bateau. Je suis alors tout de suit partis a sa recherche mais quand enfin je finit par le retrouver ma maîtrise de la magie n’était pas suffisante pour combler ses exigences. J’ai dus faire de mon mieux, et vite car les places que comptais le navire n’étais pas infinie, afin d’impressionner l’exigent Capitaine. Mes effort fussent récompenser en effet en moins d’une semaine j’avais atteint un niveau de maîtrise de la magie égal au plus puissant mage du navire. Je me suis alors fait une place dans se clan ainsi que sur le bateau. Nous fûmes de rudes combats en vain … Le capitaine Hartigan fut exécuté je voyais alors tous mes espoirs s’envolaient…
Alors que j’étais au bord de tout abandonner un humain me prit sous sa garde. Je l’appelais Merlin mais on le surnommait Fire. Il n’était capable d’utiliser que la magie noire mais elle était au service du bien. Il me fit comprendre que même si nos magies étaient différentes il avait des choses à m’apprendre et que peut importe notre magie ce qui comptait était comment et pourquoi on la maîtrise… Il m’entraîna pendant un an avant de décidait de mettre un clan sous notre responsabilités, se clan limitait et punissait le néant, les enseignements de mon grand père ne m’était alors pas inutile. Mais mon immaturité me fit commettre une erreur celle d’omettre le clan, je ne pus supporter les reproche de mon maître qui ne faisait que m’enseigner le droit chemin. Je m’en déviais en quittant le clan et, ne pouvant supporter la perte et la trahison de son élève, Merlin se faisait ronger par sa haine et disparu dans le néant. Ce fut la dernière leçon qu’il m’a enseigné.
Après un tel échec je pris les canots de l’épave de Capitaine Hartigan et j’allais en mer retrouver ma famille. Je mis de quoi manger pendant deux semaine et n’allait mangeais qu’un jour sur deux afin d’alléger le canot. Malgré la hauteur des vagues la première semaine passa sans encombre mais c’était le calme avant la tempête. Cette nuit je fus réveiller par un bruit de tonnerre, je me dirigeait dans une tempête. Je m’étais promis de ne pas perdre le cape sous peine de mourir en plein milieu des océans. Ma maîtrise de l’eau me permit de me sortir de ces eaux déchaînées sans trop de pertes seul un kilogramme de nourriture servit de dîner aux poissons. A la fin de la dernière semaine il ne me rester de quoi manger qu’un soir et encore la moitié du parcours.Mais l’eau était mon élément que je maîtrisé le mieux de plus les courants m’était favorable. Je fit le reste de chemin en une semaine et arriva, épuisé, sur mon île natale. A peine avais-je posait le pied sur le sable qu’on me plaqua au sol.
Mon état fébrile m’avait empêché de me débattre. Je fus jeté au pied de trône de différente taille mais la lumière des vitraux m’éblouissait et m’empêcha de voir se qui me dominait. L’homme assis sur le plus petit trône vint vers moi, leva mon menton que je m’empressais de le rabaisser sans voir la personne qui le soulevait. « Père c’est Orophin ! » j’avais reconnue la voix de mon frère. A ses mots je relevai la tête et sous ordre de mon père je fus libéré. Je m’approchai de lui, soudain deux lames se glissèrent sous ma gorge. Mon père se leva et d’un signe de main ordonna aux gardes d’enlever ces épées. Il me prit dans ses bras et me murmura « rentrons… ». Mon frère se contenta de me serer la main. Arrivé a la maison j’étais intrigué « ou est mère ? » posant sa main sur mon épaule il me confia qu’elle avait étais tué la nuits ou elle m’avait confié a grand père, « d’ailleurs j’ai une mission pour toi ! »Ajouta mon père. Il avait ordonné la construction d’un navire afin j’accomplisse ma mission. Une semaine a prés mon arrivé pendant laquelle je m’étais entraîner avec mon frère il était temps de partir. « N’oublie pas ta mission ramène moi l’assassin de ta mère ! » fut ses derniers mots. Mon frère devait rester prendre le trône a sa place…
Trois semaines plus tard me revoilà sur ces terres, Aden !
Plusieurs mois de recherche mais toujours rien, même pas la trace d’un landau de tissus, pas une n’empreinte, pas un bouton de chemise même pas un cheveu ne pouvait me faire croire que j’étais sur la bonne piste. Rien !
J’errais sur Aden sans espoirs de le retrouver. Lorsqu’une elfe me persuada de rejoindre la cause des elfes du « Silmaril ». Je ne pouvais pas être sur ces terres sans rien faire alors si je pouvais aider des frères … pourquoi pas. Je me rendis compte que dans cette famille pourtant nombreuse peu d’elfes ce donner du mal à accomplir notre mission, pas même le créateur de cette famille ne suer ! Mais je ne leur fit pas part de mes commentaires je faisais de mon mieux en silence. Mais la cause du « silmaril » n’intéresser pas seulement mes frères mais aussi les sombres ! Eh je ne sais combien d’âmes savent que beaucoup de sombres n’ont que de mauvaises intentions. Mais si cela n’est pas vrai pour tout sombre il est vrai pour une partie d’entre eux. Vous vous demandez pourquoi je vous dis sa ? Et bien notre chef si j’ose dire de sa seul journée ou il fut présent était venus pour faire une erreur celle d’une alliance avec les sombres ! Je m’excuse au près de ce dernier mais mon enseignement ne ma pas était enseigner pour servir le mal ! Et que la broche qui m’a été donne et près de la passeuse de Giran ou je l’ai laisser après avoir graver sur les murs de Giran, par la pointe de ma lame « « ThaNild » Est-ce une erreur des elfes ? ».
Et c’est par hasard quelque jours plus tard que je rencontrai une naine très compétente il faut le dire ! Elle appartenait au clan « les petites mains » auprès du quel je pris une commande pour des « gants du loup bleu » elle ne me fit pas attendre, le jour même mon devis était pret, le lendemain les gants m’appartenaient. Elle m’expliqua le but de ce clan qui est en vérité une véritable entreprise. J’étais persuade que leur talents permettrais peut être de retrouver cet assassin mais elle me fit comprendre que ce n’étais pas son but ni a elle ni a celle de son entreprise. Mais elle me fit discuter avec une autre naine de son clan. Apres une longue discutions, les deux naines me proposa une maison confortable et assez d’argents pour engager des mercenaires qui retrouverons le criminel que je cherche. Je su me montrer convaincant et elle m’accepta parmi elles !
(Désolé pour les fautes PS: le bg est basé sur des souvenirs et quelque passage modifier ou l'ordre chronique non respecté)
Si vous avez des commentaire afin d'ameliorer mes BG je prend :p